Gondolas SRY 200631 et 200642

J’aime le matériel qui permet de modéliser un chargement, mais aussi celui qui a une patine assez appuyée. Les wagons transportant de la ferraille sont souvent la combinaison des deux. L’exploration de bases de données photographiques ferroviaires à la recherche de matériel du SRY? m’a permis de trouver, sur rrpicturearchives.net, plusieurs wagons correspondant à mes envies.

C’est sur ce prototype que je me suis basé pour la première construction intégrale sérieuse de matériel roulant. Objectif : un Merit Award? !

Statut : Terminé , Merit Award obtenu

Progression estimée : 100%

Le modèle réel

Il existe plusieurs séries de gondolas qui sont ou ont été propriété du SRY? :

  • type E415, immatriculés SRY 2003XX et plus, équipés d’un toit ;
  • type G417 immatriculés SRY 2006XX et plus, gondolas ouverts pour transport de la ferraille ;
  • type J301 immatriculés SRY 2008XX et plus ; également gondolas ouverts pour transport de la ferraille ;
  • et un cas isolé ?

Initialement tenté par la série 2008XX, j’ai bifurqué vers la série 2006XX pour des raisons pratiques : trouver les dimensions.

SRY? 200620, photographié à Seattle
Christopher Palmieri

Les SRY 2008XX ont été construits par Thrall. Ce sont sont d’ex-gondolas de DDJ - The Joseph J Company1, une entreprise (reporting mark DDJX) spécialisée dans la valorisation de ferraille. Certains wagons de DJJX sont passés de propriétaire en propriétaires ; le DJJX 14520 a eu huit propriétaires, dont deux fois DDJ2. Les photos des gondola SRY ont toutes été prises en 2007-2008, quelques unes en 2010. Je ne sais pas si ces wagons circulent encore. Pour les DDJX, j’ai trouvé des photos datant de 2015 ou 2016.

J’ai donc profité de ces « cousins » des wagons du SRY pour trouver d’autres photos de détails, dont une photo prise du dessus d’un wagon chargé.

Ces photos montrent du matériel portant des marques très importantes d’usure, du fait des chargements ou de coups reçus ; un trait commun à bien des wagons a ferraille ! Les parois sont déchirées, les renforts de caisse sont déformés quand ce ne sont pas ceux d’extrêmité. Les échelles sont systématiquement déformées, voire cassées. Les extrémités des caisses sont déformées. Le 200641 présente une caisse en deux parties : les parois sont visiblement deux plaques horizontales soudées l’une par dessus l’autre. Bref, chaque wagon semble être unique, même si deux grandes catégories se distinguent (voir plus bas).

Certains wagons ont une barre qui court le long de caisse, sans doute pour attacher une bâche ou un filet. La barre est systématiquement coupée ou tordue. Cette barre n’est pas présente en fonction de l’immatriculation. D’autres systèmes d’attache semblent exister.

Les volants de frein sont bas sur les wagons DDJX, et hauts sur les wagons SRY. C’est visiblement la seule différence entre les wagons DJJX et SRY.

Globalement, la patine sera un grand moment : ces wagons sont des tas de rouille sur roue !

Deviner les dimensions

Le code AAR de ces wagons est G417, qui désigne :

Unequipped Gondola, Inside length 52-61ft, less than 9ft inside width, Steel Floor, solid ends, Inside height : 65-167 inches, Load Limit : 185,000-204,999

Tombereau non-équipé, Longueur intérieure 52-61ft, moins de 9ft de largeur intérieure, Plancher en acier, extrémités solides, Hauteur intérieure : 65-167 inches, Limite de charge : 185,000-204,999

Cela donne des indications, mais rien de précis quant aux dimensions. J’ai cherché des photos prises perpendiculairement au modèle, et extrapoler sur les dimensions. Michael Eby partage sur son site plusieurs photos des SRY 2008XX qui m’ont permis de trouver les dimensions (approximatives) du gondola. Pour les SRY 2006XX, je n’en avais qu’une, c’était trop peu !

J’ai pris les photos de deux wagons photographiés par Michael Eby : SRY 200826 et SRY 200841. Ils ont chacun leurs particularités, mais entrent sous le label « G417 ». Leurs marquages sont parfaitement lisibles sur les photos et démontrent que deux wagons identiques de par leur normalisation sont en réalité différents. Il existe donc deux sous-séries, avec un point de rupture sans doute avec le SRY 2006403 :

SRY 200626 SRY 200641
Construit mars 1975 février 1981
Load limit 192500 193700
Light weight 70500 69200
Volume utile 4550 4550
Longueur intérieure 53-0 53-0
Gabarit Exceeds plate C Exceeds plate F
Différences visibles
  • Peinture claire sur deux panneaux latéraux
  • Œillet pour manœuvre au crochet soudé
  • Sur certains wagons, plaque de renfort soudée au droit de l’œillet, contre le renfort de caisse.
  • Peinture claire sur un seul panneau latéral
  • Œillet pour manœuvre découpé dans un renfort
  • Plaque sur le dessous de l’axe du bolster
  • Concernant les dimensions, de ce que j’en vois, ils sont absolument identiques. Si je décide de reproduire ces deux immatriculations, les seules différences visuelles seront au niveau des œillets de crochetage, et éventuellement une barre pour attacher la bâche.

    La longueur du wagon est au dessus de 53 pieds (longueur de l’intérieur de la caisse), soit 16154 mm, soit 101 mm au 1:160. Avec la mesure des dossiers, il s’agit visiblement d’un wagon de 54 pieds de long, soit 16459mm de long. Cela nous amène à une longueur totale de caisse de 102.8mm en N.

    J’ai donc pris les images des deux wagons, que j’ai imprimées en grand format. J’ai ensuite pris des dimensions connues : diamètre des roues (des 36"), entre-axe des bogies, que j’ai ramenées aux dimensions en N. Cela m’a donné un taux de réduction à appliquer aux autres mesures. Bien entendu, les photos présentent une déformation, aussi des différentes sont possibles. Si les bogies du SRY 200626 me donnent un coefficient de 4,8, les bogies du SRY 200841 me donnent 4,9 et 4,72 ; je pars sur 4,8.

    J’ai relevé les cotes sur les deux wagons, et les dimensions rapportées en N sont globalement les mêmes, à quelques dixièmes de différence ; cela ne se verra pas sur un wagon au 1:1604.

    Établissement du plan

    Je me retrouve avec des découpes quasi-impossibles à faire ou avec des profils qui ne sont pas disponibles dans le commerce (je comprends tout à fait que Evergreen ne fasse pas de profiles 0,8x0,25). IL va donc falloir passer par une solution autre que de la découpe à la main.

    Ma Silhouette Portrait est là pour cela. Je prépare donc un modèle 3D du wagon, pour ensuite exporter les éléments en SVG, que la Silhouette sait digérer. C’est sans doute bien plus de travail que tenter de tout couper à la main5. Cependant, le plaisir que j’ai à modéliser le wagons sur Onshape est bien supérieur à celui de couper de du plastique à la main, une tâche qui ne me tente pas au moment où j’écris ces lignes (et depuis plusieurs mois maintenant).

    Modélisation de la caisse en cours
    223 pièces à découper... et il en manque ! 😅

    Construction

    Les pièces issues de la découpe sont stockées pour éviter les confusions.

    L’ensemble du modèle est en carte plastique de 0,25mm d’épaisseur. J’ai effectué les découpes avec la Silhouette Portrait, en utilisant le tapis de coupe autocollant. Les paramètres ont été :

    • speed : 3
    • pressure : 30
    • depth (Autoblade) : 5

    J’effectue trois fois la session de découpe avant de décharger la carte plastique.

    Le châssis a été modélisé puis imprimé en 3D sur ma Prusa Mini?. Il comporte des cases pour accueillir un peu de lest, car le wagon est très léger. Du carbure de tungstène est collé dans ces cases et permet de gagner deux grammes sur les 32 que devrait théoriquement faire ce gondola ! On verra avec le chargement...

    Un gabarit de montage a été créé en impression 3D
    Chaque membrure, très fine, est ainsi montée à sa place, verticalement.

    Est également imprimé en 3D un gabarit de montage des flancs. Grâce à lui, je peux coller rapidement et à bonne distance les membrures. La troisième version du gabarit a été la bonne ! J’ai passé plus de temps sur ces calages de gabarits et leur amélioration que sur l’assemblage. Mais je peux aujourd’hui assembler des wagons rapidement. Idem pour le gabarit pour assembler les dossiers : cela permet une pose parallèle et bien espacée des éléments, verticaux, puis horizontaux.

    La construction du wagon se déroule en deux temps. J’ai un prototype qui me permet de tester les opérations et d’acquérir le geste. Puis j’applique ce qui est appris sur le second wagon. Problème : j’ai largement confondu les deux, et je ne sais plus lequel est lequel ! Ils sont donc égaux dans leur volume d’imperfections.

    Un second gabarit podélisé puis imprimé en 3D permet de gérer la mise en place des renforts d’extêmité et latéraux.
    Ce gabarit fait 1,5 x 1,7 cm.
    Mise en place des renforts sous la caisse.
    Ces pièces de 4x0.25x0.20 sont des morceaux de profilé Evergreen 103, coupés en petits bouts aléatoires. Ils seront coupés sur place à la bonne longueur.
    Mise en place des renforts d’angle.
    Ils sont collés longs, pour être ensuite coupés. Il est plus facile de les couper à la bonne longueur une fois en place, que de couper 24 bouts de plastique de 2.3mm de long !
    Les gabarits permettent de cloner les wagons !

    L’ajout d’une plaque de plomb au fond de la caisse me permet de passer d’un wagon de 8 grammes à un wagon pesant 25 grammes. C’est encore loin des 32 grammes conseillés, mais c’est dans la moyenne des gondolas du commerce, souvent trop peu lestés.

    Détails

    Beaucoup d’essais ont été nécessaires pour le système de frein.
    Cela me donne de quoi charger mes wagons. :)

    Les détails sont :

    • le système de frein,
    • les anneaux de manœuvre au crochet,
    • les échelles.

    Le système de freinage est peu visible. Si son placement est plus ou moins identifiable, son type est absolument impossible à deviner. La période de production des wagons (fin des années 1970, début des années 1980) donne un indice : ce serait un système ABD. La fiche technique D9O de la NMRA renseigne sur ce qui constitue un système ABD, mais il reste pas mal de zone d’ombre (littéralement).

    La lumière est venue d’un article de Cinthia Priest sur la construction de wagons, publié dans le NMRA Magazine de septembre 2023. J’ai extrapolé depuis ses exemples (clairs !) de tuyaux et tringles de frein !

    Mon installation de frein est sans doute loin du wagon réel, mais aucune photo du dessous de ces wagons n’existe. J’ai donc créé quelque chose que j’espère plausible.

    Les tringles de frein et le volant
    Le volant a des rayons qui dépassent du cercle extérieur. Ils seront coupés : cela me permet d’avoir de manière certaine un volant rond, plutôt qu’un chou fleur. De même, les tringles de frein sont trop longues pour être ajustées in-situ.

    Les éléments du système de freinage ont été modélisés en 3D, après de multiples essais et erreurs. Une impression avec une buse de 0,25mm, et une vitesse de 30%, est le facteur de succès pour les tringles de frein.

    La conduite d’air qui circule tout le long du wagon est faite de morceaux de la bordure qu’à fait mon imprimante 3D lors de cette impression : c’est très fin, et plutôt rond !

    Les anneaux pour la manœuvre au crochet n’ont pas pu être imprimés en 3D : les pièces sont trop petites pour ma machine filaire, malgré une buse de 0,25mm. J’ai donc percé des chutes de carte plastique pour faire des œillets convaincants. C’est d’ailleurs à ce moment là que j’ai vu la subtile différence entre les sous-séries de wagons. J’ai donc choisi de reproduire un wagon de la série 200600 à 200639 avec œillets soudés, et un wagon de la série 200640 et plus, avec les œillets découpés dans un longeron de caisse.

    Les échelles, le marchepieds, les emplacements des barres de dételage, le volant de frein et son axe sont imprimés en PLA.

    Des échelles à l’échelle
    C’est fragile, du genre à lâcher sur un courant d’air, mais la peinture tiendra tout. 🤞
    Au pire, ça casse, et c’est encore plus conforme au prototype.
    Une fois posées, les échelles et marchepieds ont une bonne tête, je trouve.

    Suite à la peinture, les détails suivants ont été ajoutée :

    • les conduites de frein et les leviers de dételage sont en fil de cuivre ø0.1, mise en forme et peint.
    • l’intérieur de la caisse a quelques pièces de métal qui n’ont pas été enlevées. Celles-ci sont en chutes de carte plastique, en chutes d’impression 3D et en scotch de masquage peint en rouille.

    Peinture

    La peinture commence avec une couche d’apprêt (German Green Brown 70.606), suivi d’une application uniforme et sous tous les angles de Burnt Umber (71.040). J’ai ensuite tenté de trouver un mélange qui corresponde à la teinte marron des wagons, composé d’une base en Camo Pale Brown (71.035) et Sand (71.075), Burnt Umber (71.040) et Red (71.003).

    Le dessous du wagon est pré-patiné en Dark Earth (71.029), suivi d’un lavis Wash Europen Dust (76.523). Les parties « blanches » aux extrémités sont un lavis de Aged White (71.132) posé en plusieurs passes l’aérographe.

    La patine est assurée par des touches de Rust (71.080) et Dark Brown RLM61 (71.042) pour les marques les plus récentes, mais surtout par de grosses touches aléatoires de German Camouflage Black Brown (70.822) appliquée à l’éponge. Cela est appliqué aussi a l’intérieur de la caisse, où un voile de Wash Rush 76.506 est appliqué à l’aérographe entre chaque étape.

    Marquages

    Deux possibilités s’offrent à moi : reproduire un modèle précis, ou faire un best-of de ces wagons. Je pars sur la seconde option, avec deux immatriculations pour lesquelles je n’ai pas de photos : SRY 200631 et SRY 200642.

    Pourquoi ces numéros ? Une fois de plus, cela dépend des photos que j’ai à disposition. Je reprends les photos de Michael Eby, qui présentent d’autres numéros, et créé des marquages à imprimer sur décalcs. J’ai uniquement des décalcs transparents : je prévois de peindre la caisse en blanc, et de coller dessus la partie noire.

    Préparation des marquages pour les dossiers de caisse, logiciel Krita.
    Prépartion des marquages, à l’échelle, dans Scribus
    Je double tous les éléments car je sais que leur application peut être compliquée !

    La mise en place des marquages fut problématique, car le film est très épais. J’ai triché en reprenant les couleurs de la caisse pour « fondre » les marquages.

    Merit Award

    Scores finaux !
    Incluant une faute de décompte des points, corrigée depuis. :)

    J’ai soumis ces deux wagons pour un Merit award (chacun), lors de convention de la NMRA British Region, le 21 octobre 2023. Jugés par Alain Kap (MMR) et Jonathan Small (MMR), les modèles ont reçu les scores suivants :

    • 200631 : 109/125
      • Construction : 35/40
      • Détail : 18/20
      • Conformité : 22/25
      • Peinture et lettrage : 19/25
      • Construction intégrale : 15/15
    • 200642 : 109/125
      • Construction : 36/40
      • Détail : 17/20
      • Conformité : 23/25
      • Peinture et lettrage : 18/25
      • Construction intégrale : 15/15

    Un Merit Award est accordé aux modèles dépassant 87.5 points ; les deux modèles ont donc obtenu leur Merit Award.

    Ce que ce modèle m’a appris

    • OnShape est très agréable à utiliser !
    • Mon imprimante 3D est une sacrée alliée ; faire des gabarits de montage a été très apprécié.
    • J’ai encore bien des choses à apprendre de la Silhouette.
    • L’imprimante 3D ou la Silhouette ont été des nouveautés pour moi. Mais les apprendre en meme temps que la création d’un modèle de toutes pièces n’est pas une bonne idée : j’ai perdu du temps.
    • Même si personne ne fait de photos du dessous des wagons, des gens font des photos des wagons tout court, et c’est aussi très apprécié !
    • Des pièces de 0.2 x 0.35 mm de long ne sont pas gérables. Mieux vaut coller plus long et couper ensuite :)
    • Rappel utile : les roues de nos modèles réduits sont très, très grosses par rapport aux vraies, même les modèles fins. Du coup, créer le modèle réduit à l’échelle d’un wagon où les roues affleurent les dossiers aura nécessairement des roues miniatures qui dépassent beaucoup. :/
    • Concevoir, créer, peindre... mine de rien, cela prend du temps quand on cherche la qualité.
    • Comment se passe une évaluation pour un Merit Award? !

    Déclaration de qualification (SOQ)

    Identification des éléments construits en scratch

    • le modèle est de construction intégrale à l’exception des composants commerciaux listés ci-après.

    Liste de tous les composants commerciaux présents sur le modèle.

    • Éléments devant être comptés pour le jugement pour le Merit Award? :
      • aucun
    • Éléments exclus du jugement :
      • bogies 1031 MicroTrains
      • attelages 1015 MicroTrains
      • roues fines 60072 Intermountain

    Liste des matériaux utilisés pour la construction du modèle

    • carte plastique Evergreen 0.25mm
    • profilé Evergreen 103
    • filament Prusament PLA
    • High-density Tungsten Powder - Dynacraft
    • Colle Deluxe Rocket Rapid
    • Colle Deluxe Rocket Hot
    • Colle Tamiya Ultrathin Cement
    • Vallejo Plastic Putty 70.401
    • AK White putty Hard 103
    • Fil de cuivre ø0.2 et 0.1
    • Plaque de plomb pour toiture, épaisseur 1mm
    • Peintures Vallejo (les principales)
      • Camo Pale Brown (71.035)
      • Sand (71.075)
      • Burnt Umber (71.040)
      • Red (71.003)
      • Dark Earth (71.029)
      • White (71.001)
      • IJA Chrome Yellow (71.135)
      • Rust (71.080)
      • Dark Brown RLM61 (71.042)
      • German Camouflage Black Brown (70.822)
      • Wash Rust 76.506
      • Wash Europen Dust 76.523
    • Peinture AK
      • Dark rust AK11107
      • Rubber black AK11027
      • Natural Steel AK11210
    • Décalcs transparents pour imprimante à jet d’encre
    • Vernis Vallejo en bombe Matt (28.531) et Gloss (28.530)
    • Crayons AK Weathering pencils
      • Rubber W2
      • Sepia W10
      • Light Rust W11
      • Earth Brown W28

    Sources


    Notes

    ↑ 1 Ce marquage est toujours visible sur le SRY? 200632, voir la photo de Michael Eby sur trainaix.net.

    ↑ 2 Documenté sur rrpicturearchives.net.

    ↑ 3 J’ai identifié ces différences en deçà de 200634 (inclus) et au delà de 200641 (inclus) ; 200640 est une limite théorique

    ↑ 4 Mais je saurai, au fond de mes tripes, que ce ne sera pas précis. Ô douleur.

    ↑ 5 Certains diront que c’est tricher, mais c’est tout autant de travail, voire plus le temps de maîtriser la bête. Ce sont les mêmes qui acceptent l’aéro alors que la Seule Vraie Manière est de faire au pinceau, n’est-ce pas ?


    Galerie

    Maintien avant collage